Palmiers

J'veux pas écoeurer personne, mais je m'envole pour la République dominicaine demain soir! Et samedi matin je serai dans cette piscine-là!

À moi le sable chaud, le soleil, la cerveza, le pina colada et le beach volley! Ça fait plus de ans que je n'ai pas pris de vacances alors celles-ci seront les bienvenues.

Tout ce que je souhaite, c'est que la bouffe soit bonne, la température agréable et les dominicains accueillants. Le reste... je verrai une fois rendu là-bas!

Bonne semaine chers amis!

Douce Carla

Jusqu'à dernièrement, je m'étais juré de ne plus écouter de Carla Bruni. Non pas que je n'aimais plus sa musique ou son style. Mais plutôt parce qu'elle a décidé d'épouser le faschiste à Sarkozy. Mais pour une raison qui est pour le moment encore inexpliquable, j'ai décidé de changer mon fusil d'épaule. Va savoir qu'est-ce qui me passe par la tête.

Sérieusement, me semble de voir la commotion au pays s'il fallait que des photos de la femme du très dynamique et extraverti Stephen Harper circulent sur le Net ou encore que Mimi Dionne-Charest pose en petite tenue sur le cover du Québec Érotique ou de Summum. Ça serait trop fou. Vraiment.

Ça me rappelle les photos de la noune de Sheila Coops et celles de la fille d'un ministre québécois dont le nom m'échappe. Me semble que c'était l'ancien ministre libéral de la Justice, Jean-Marc Bellemare... En-t-k...

Vive la République ! Vive Sarkozy ! (n'importe quoi....)

Quebecon

Est-ce que je vous ai déjà dit que je hais Quebecor pour m'en confesser? Bien plus que les maudits Nordiques ou le poudding au riz.

Je hais cette entreprise ainsi que ses dirigeants pour plusieurs raisons dont je ne parlerai pas aujourd'hui, mais la dernière en lice est leur manque flagrant et tout à fait intentionnel de classe en ce qui a trait à ses relations de travail.

Leur attitude dans le conflit les opposant aux syndiqués du Journal de Québec n'a aucun câlisssssssssse de bon sens. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi il n'y a pas davantage de levées de bouclier dans ce dossier.

Comment se fait-il qu'on permette que le Journal soit en grande partie imprimé à Mirabel, ce qui implique évidemment l'utilisation ILLÉGALE de briseurs de grêve ? Comment se fait-il qu'on laisse passer l'utilisation de textes provenant de Canoe à l'intérieur des pages du Journal, ce qui correspond également à une utilisation ILLÉGALE de briseurs de grêve ?

Bien sûr Quebecon, comme l'ont judicieusement rebaptisé RBO lors du Bye Bye, argue que toute ces allégations sont fausses. «Le Journal est produit à Québec 7 jours sur 7 et imprimé ici même, à Vanier, au Journal», a même le culot de dire Patrick White, un cadre du Journal de Québec.

Pourtant, il y a des signes qui ne mentent pas. Pour de raisons d'ordre technique, les presses du Journal de Québec ne permettent pas d'avoir une page 3 en couleur, ce qui pour un heureux hazard se produit fréquemment depuis le début du conflit en avril dernier. Par contre, les presses ultramodernes de la nouvelle imprimerie de Mirabel le permettent...

Je m'arrête parce que je pourrais avoir envie d'aller déchirer ma chemise sur la place publique. Mais tout ça pour dire que ce sont des enfouarrés de première classe. J'invite donc tout le monde à boycotter cette entreprise de marde!

Controverse

Comme ç'a l'air de bien fonctionner avec le Voyou, j'ai décidé de lancer une controverse.
La voici: selon moi, les noirs sentent drole.
Tiens!

Vautours

Je sais très bien que je fais partie du circle médiatique qui pour une semaine encore va nous casser les oreilles avec la tragédie qui touche une petite ville de 12 000 âmes au Nouveau Brunswick, j'ai nommé Bathurst.

Je me mets parfois à la place du monde qui consomme nos médias et je me dis qu'ils doivent nous trouver vautours, nous les journaleux, lorsque l'on fait du millage avec une équipe de basket décédée sur la route. Mais que voulez-vous, c'est comme ça. Tout ce qui est susceptible de faire réagir ou d'émouvoir les gens vend. Et un journal, c'est un produit avant tout. Si tu ne le vends pas, t'es mieux de retourner sur la livraison de chips...

Facque, comme l'histoire de Bathurst est particulièrement tragique, il va y avoir des centaines de reporters d'un peu partout au pays dépêchés sur les lieux cette semaine. Ça a déjà commencé avec La Presse, qui a envoyé Patrick Lagacé là-bas.

Attendez-vous à voir aujourd'hui une tonne de topos sur le retour en classes. On va interwiever les amis des défunts, un psychologue spécialisé dans le deuil, le maire de la ville, etc. Ici, au Québec, on va certainement retrouver quelqu'un qui connaissait de près ou de loin une des victime. On va aussi tenter de trouver quelqu'un qui a déjà vécu quelque chose de semblable. J'vous le dit, je vois déjà le brainstorming des chefs de nouvelles ce matin...

Et ça y est, le circle sera parti. Radio-Canada va sortir son exclusivité, suivi du Journal de Mourial, qui trippe particulièrement sur ce genre de situation, La Presse, etc. Et lorsqu'il n'y aura plus de viande autour de l'os, on va passer à la prochaine histoire.

Vous savez quoi ? Tout le monde est responsable de ce genre d'information spectacle. Si les gens n'étaient pas intéressés, le JdeM ne vendrait pas autant de copies et Télé-Québec aurait des cotes d'écoutes dépassant le million...

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J'ai décidé de mettre la partie sur mon vendredi en deuxième moitié de post pour vous oubliger à lire, chers amis avides de détails croustillants!

Mon cher Yano, tu me dois 10 $, soit exactement le prix d'un danse aux tables. Effectivement, j'ai chocké.

Malgré vos encouragements et votre simili approbation, j'ai décidé de rester avec ma copine. On est allé chez des amis jouer au Poker à la place. Un autre vice de notre société que les jeux d'argent, mais tellement l'fun avec une petite consommation.

Désolé pour ceux qui auraient voulu des photos. Ce sera pour une prochaine fois...!

Pis ?

Est-ce que ces jolies effeuilleuses du chic cabaret le "Studio Sexe" ont été honorées de ma présence, vendredi ?

Curieux, hein !?!

La réponse demain!

Mouaaaaaaaa que je suis agace moi aussi...

Dilemme

Je suis pris entre l'arbre et l'écorce, comme dirait l'autre (on sait pas c'est qui l'autre, mais on s'en fou...).

Je dois prendre un périlleuse décision aujourd'hui, une décision qui demande jugement et analyse, ce dont je crains de manquer à l'occasion.

Un ami va avoir 30 ans demain. Jusque-là pas de problème à l'horizon. Un de ses amis, que je connais très peu, a cependant décidé de lui organiser une petite soirée de gars ce soir (lire soirée sans filles, mais avec des FILLES). Encore-là pas trop de problème, du moins pas en ce qui concerne ma petite personne.

J'ai pas le détail de toutes les activités prévues à l'agenda, mais semble-t-il qu'après quelques broues, il est prévu d'aller terminer la soirée au très chic cabaret "Studio Sexe", rue Therrien à Sherbrooke. Certaines mauvaises langues disent qu'il y a des jeunes femmes nues à cet endroit. Je n'en crois pas un seul mot !?! (...)

Mon problème avec cette soirée qui s'annonce morne et sans intérêt, c'est que ma blonde m'a dit très sérieusement: "Tu peux y aller, ça ne me dérange pas du tout". Elle a même ajouté: " Je te fais confiance".

Étant en plein coeur de la vingtaine avancée, je commence à comprendre la subtilité et la finesse de la gent féminine. Et je me demande toujours s'il n'y a pas anguille sous roche quand une fille donne une approbation de la sorte à son chum. Je sais pas, mais sa sonne un peu faux tout ça.

Est-ce que je profite de cette permission où si je lis entre les lignes et je reste gentiment à la maison ? Voilà la question.

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N.B. Pour les demoiselles qui lisent, il est à noter que je ne suis pas un pervers qui passe ses soirées aux danseuses. Je ne me rappelle même pas la dernière fois que j'y suis allé... Pensez à ça avant de me lancer des roches... ;)

Vive le Centre Bell!

Ça intéresse peut-être personne, mais ce soir je vais au Centre Bell. C'est toujours cool aller au Centre Bell, et plus particulièrement pour voir le Canadien.

Je sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne, mon quotient descent drastiquement de 25 voire même de 30 à la minute où je franchis les tourniquets du temple de la Flanelle. Comme par magie, je me transforme en moron grouppie. J'ingurgite hot-dog et bière à la vitesse de l'éclair (pour ce faire, je dois pratiquement réhypothéquer ma maison parce que ça coûte la totale au Centre Bell), je deviens ami avec n'importe quel crétin avec un chandail bleu, blanc, rouge. Je le serre dans mes bras et fredonne amoureusement "ooooolllé olé olé olééééé, oléééé olééééé" dès que l'occasion se présente (lorsque Kovalev ou n'importe quel autre chaudron qui joue pour mon club score).

Alors, je vous en souhaite une bonne devant votre télé et me souhaite toute une virée à Mourial-sur-le-Lac. La ville est hockey!

Retour!

Après une longue absence de quatre mois, j'effectue un retour sur la blogosphère. Pourquoi ? Parce que j'ai du temps, pis aussi parce que j'ai encore quelques histoires à raconter.

La dernière en lice: celle de mon frère, dont je tairai le nom, histoire de ne pas nuire à sa réputation.

J'aime mon frère. Il est généreux, sociable, attaché aux valeurs familiales. Il est doté d'une intelligence au dessus de la moyenne. Un gars brillant, vraiment. Mon père, avec toute la délicatesse qu'on lui connaît, m'a même déjà dit très sérieusement "ton frère est plus intelligent que toi, mais moins travaillant"...

Mais malgré ses belles qualités, mon grand-frère (petit détail que j'avais oublié) réussit immanquablement, et ce, à chaque réunion de famille, à me faire péter ma coche intérieurement. Je me prive de lui dire ma façon de penser pour ne pas faire de peine à ma mère. Elle ne mérite pas ça.

Toujours est-il que mon frère, et ça me pèse de le dire, est un moron. De la pire espèce. Celle qui ne devrait pas se reproduire, mais qui l'a déjà fait... Un poteux qui croit que tout lui est dû, spécialement quand ça vient de ma mère. Le genre de gars qui cherche toujours la façon la plus facile et sans effort de faire les choses, de contourner les règles. Le genre de gars à faire un faux dépot dans son compte en banque, histoire de retirer l'argent en se disant "ils ne s'en rendront pas compte..."!

Même s'il est dans la trentaine, mon frangin n'a aucune honte à vivre au crochet de ma mère. Un coup de téléphone, quelques mots sur la corde sensible et le tour est joué: quelques centaines de dollars sont immédiatement versés dans son fameux compte en banque. Des dollars rapidement dépensés pour de la mari, des cigarettes et ses esties 2L de Pepsi diet qui sont en train de venir à bout de ce qui lui reste de dents. Sa blonde m'a déjà dit qu'ils dépensent ensemble pour environ 300$/mois pour du pot. C'est tu moi le fêlé ou si ça n'a pas de sens!?

Évidemment, il ne dépensera pas pour des patins pour son p'tit pout de 2 ans ou pour payer la garderie. Un autre coup de fil à la Banque Maman sera nécessaire pour la garderie. Et pour le patins, oubliez ça!
Dernièrement, il est allé jusqu'à dire à ma mère qu'il était tellement cassé qu'il devrait abandonner son travail parce qu'il n'a pas d'argent pour mettre de l'essence dans sa voiture, voiture payée en grande partie par la mama!

Ni une ni deux, ma candide mère supérieure lui a acheté des bons échangeables chez Esso.

À Noël, lorsqu'il a dit à tout le monde qu'il allait à Montréal voir un de ces amis. Ma mère lui a dit que ça allait lui coûter aussi cher qu’une semaine d'essence pour aller travailler. Il a eu le culot de lui crier après et de lui dire de se mêler de ses affaires!!!

J'en revenais tout simplement pas. Quand la classe et le respect sont passés, il était définitivement parti pisser!
Je me permet ici de dire haut et fort que mon frerôt c't'un maudit TABARNAK. Et je suis poli...

Je vous promets d'autres histoires sur ce sujet fertile. Vous n’en reviendrez pas...