lundi 30 avril 2007

Les vedettes de TVA

Les gagnants du Gala Artis... Qu'ont-ils presque tous en commun ???

> Animateur / Animatrice de bulletins de nouvelles
SOPHIE THIBAULT

> Animateur / Animatrice d'émissions d'affaires publiques
PAUL ARCAND

> Animateur / Animatrice d'émissions de services
BENOÎT GAGNON

> Animateur / Animatrice d'émissions de variétés / divertissements / magazines culturels et talk shows
ÉRIC SALVAIL

> Artiste d'émissions d'humour
MARC LABRÈCHE

> Animateur / Animatrice d'émissions de jeux
CHARLES LAFORTUNE

> Personnalité d'émissions de sports
MARIE-CLAUDE SAVARD

> Rôle masculin / Téléséries québécoises
CLAUDE LEGAULT

> Rôle féminin / Téléséries québécoises
HÉLÈNE BOURGEOIS-LECLERC

> Rôle masculin / Téléromans québécois
DENIS BOUCHARD

> Rôle féminin / Téléromans québécois
GUYLAINE TREMBLAY

> Artiste d'émissions jeunesse
MARILOUP WOLFE

> Artis / Personnalité masculine
CHARLES LAFORTUNE

> Artis / Personnalité féminine
GUYLAINE TREMBLAY


Se sont presque toutes des vedettes de TVA, mis à part Claude Legault (bien qu'il apparaisse dans Annie et ses hommes), Hélène Bourgeois-Leclerc (ah ben... elle aussi joue dans Annie et ses hommes), Marc Labrèche et Mariloup Wolfe. Curieusement, le gala est présenté à TVA. Un peu de recherche nous apprendrait certainement qu'il est financé par Quebecor, qui ne se gêne d'ailleurs pas le moindrement pour faire la promotion de ses vedettes maison.

Sérieusement, y'a-t-il quelqu'un dans la salle qui ne pense pas que les dés sont pipés d'avance. C'est vraiment n'importe quoi. Que Sophie Thibault gagne passe encore. Elle anime de main de maître le bulletin de fin de soirée le plus écouté. Mais qu'Éric Savail gagne, que Marie-Claude Savard gagne, ça frise le délire.

Vous allez me dire que Guy A. Lepage, malgré son égo gros comme le monde, n'aurait pas dû gagner à la place de l'ancien animateur de foule !?! Et que dire des Michel Villeneuve, Pierre et Yvon de ce monde qui auraient facilement pu prendre la place de M-C Savard qui, bien que très très cute, ne fait que de très courts compte-rendus de sport sans analyse.

Le plus grand non sens de ce gala : la nomination de Charles Lafortune comme personnalité masculine de l'année.. Pffffffffff !

Tout ça ne rime à rien. Tout ce que ça démontre, c'est que le réseau avec le plus de moyen fait gagner ses ti-papoutes. Il faudrait réellement repenser la formule.

Demain : un autre non sens, la nomination de Shane Doan comme capitaine d'Équipe Canada.

jeudi 26 avril 2007

Arrogance ???

Pris sur le blogue de Pat Lagacé... Mon opinion... ensuite
Et c’est quoi, le rapport de votre titre, M. le blogueur ? L’arrogance, c’est évidemment M. Luc Lavoie, le vp corpo de Quebecor et porte-parole du géant médiatique dans ce conflit. M. Lavoie est la face de l’employeur dans cette bataille et… et… et j’en perds mes mots tellement je suis démonté par son attitude condescendante. M. Lavoie est le Gargamel des porte-parole québécois.

Pendant le conflit chez Vidéotron, même Pierre Bourgault, du Journal de Montréal, avait esquinté M. Lavoie, dénonçant son arrogance de calibre galactique. M. Lavoie suinte un mépris qui passe littéralement à travers l’écran de TV pour venir ensuite se répandre dans nos salons, tachant tapis et pantoufles. Et le lock-out de Québec nous en promet des belles, encore une fois. J’en veux pour preuve une déclaration de M. Lavoie dans Le Devoir, récemment. Ameublement Tanguay, voyez-vous, songe à retirer ses pubs du Journal de Québec, préférant fuir la controverse, le temps du lock-out. Ameublement Tanguay est un annonceur giga-important pour Quebecor (la chaîne annonce sur TVA). Or, que répond Luc Lavoie à Jacques Tanguay, qui songe à ne plus annoncer dans le JdeQ ? Il a cette phrase sidérante, qui confirme à l’humanité que l’arrogance de M. Lavoie ne connaît aucune limite :

«C'est leur choix. S'ils pensent vendre plus de meubles comme ça...»

C’est sidérant.

Je me demande ce qui est plus dommageable pour Quebecor Media. La semaine de quatre jours de ses journalistes ou le porte-parole de la compagnie qui écoeure, inutilement, un important annonceur ?

Envoyer Luc Lavoie défendre la position de Quebecor, c’est comme confier les clés de ta Ferrari à un épileptique.

Pierre Karl Péladeau a beau avoir une image publique controversée, il a beau avoir des ennemis tenaces et enragés, j’ai entendu, dans l’empire et en-dehors, des tas de gens me parler de lui en bien.

Luc Lavoie ? Jamais.



Vous savez quoi ? Pat a oublié deux autres exemples flagrants de la grande délicatesse et de l'arrogance de Luc Lavoie.

En octobre dernier, lorsque mon collègue du Journal de Sherbrooke et moi avons été crissés dehors pour avoir publié une histoire sur le PM, le toujours très sympathique Luc a affirmé à tous les médias québécois que nous étions la "honte de la profession". Rien de moins, et ce, malgré un dossier sans tache !

Quelques semaines plus tard, après le la directrice de la rédaction des Hebdos Quebecor ait fait la bourde d'envoyer un courriel demandant l'appui de scabs en prévision de l'actuel conflit au JdeQ, il a dit, et je cite :

"la seule Anne-Marie Cadieux que je connais, c'est l'actrice"

Voyons toi que le no2 de Quebecor ne connais pas l'un des cadres les plus importants de la compagnie...

Pour le tact, on repassera. Bonjour l'arrogance. Ce cher Luc regarde le monde du haut de l'Empire State Building !

lundi 23 avril 2007

Trouvez l'erreur...


Trouvez l'erreur.

Je suis responsable des communications pour une compagnie de gestion des matières résiduelles. Mon travail consiste notamment à faire de la sensibilisation auprès des citoyens en ce qui concerne le recyclage, le compostage, l'herbyciclage, etc.

Également, je signe une chronique environnementale dans l'hebdomadaire le Canada Français, de Saint-Jean-sur-Richelieu. J'y incite les gens à protéger notre planète. J'insiste sur la consommation responsable ainsi que sur les 3R (réduire, réutiliser et recycler).

Pour aller à mon travail, je parcours 225 km par jour en voiture. Je ne fais pas de covoiture, puisqu'il ne semble pas avoir beaucoup de monde assez freak pour travailler à Saint-Jean tout en demeurant à Sherbrooke.

Trouvez l'erreur.

vendredi 20 avril 2007

Soleil quand tu nous grise !

Putain qui fait beau. Non mais, ça nous remet tu sul'piton quand le soleil nous taquine la peau !

J'ai passé un super beau vendredi : pas de job, juste une marche au Marais de la rivière aux Cerises à Magog (vous irez, c'est vraiment beau...), une sangria sur une terrase, une bière sur une autre !

Aussi, y'a les filles qui ressortent leurs camisoles. Ça personne ne peut nier que c'est l'fun.

Vraiment, j'aime le printemps. Le printemps, c'est comme une blonde qu'on a pas vu depuis 6 mois, notre plat préféré qu'on n'a pas mangé depuis un bail, notre meilleur ami qui revient de voyage.

Bon, je vais profiter de ce qui me reste de soirée.

A+

jeudi 19 avril 2007

Maudits avocats !!!

Je vous avais promis de vous raconter mes mésaventures avec les avocats qui devaient me représenter devant la grosse machine Quebecor qui, rappellons-le, m'a gentiement câlissé dehors après 4 ans de loyaux services et un dossier sans tache. Le tout, pour une histoire qu'un collègue a écris dans le Journal de Sherbrooke...

Et bien, voilà !

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Après que la nouvelle de mon congédiement et celui de mon collègue Alain ait été diffusée à la grandeur de la province, un réputé avocat de Québec, dont je tairai le nom histoire d'éviter d'autres emmerdes (p'tit indice, il est reconnu pour être souverainiste), nous a contacté pour nous offrir ses services.

Jeune, naïf, sans expérience, mais surtout ébranlé par tout ce qui venait de se passer dans ma vie, j'ai accepté d'aller le rencontrer en compagnie de mon confrère à son cabinet de Québec, tout en lui mentionnant d'entrée de jeu que je ne disposais d'aucune marge de manoeuvre financière. En clair : j'avais pas d'argent pour le payer câlisssss.

Volant à notre secours (il est reconnu pour aimer les flashs de caméras), Me D, appellons le comme ça, nous assure qu'il ne nous facturera pas une forture.

"Votre cause m'est sympathique, nous a-t-il indiqué. Nous allons trouver un terrain d'entente raisonnable et nous allons solliciter des appuis pour vous aider à payer."

Candide, j'accepte donc l'aide de M. D et de son confrère, Me. E. Je lui fais parvenir un chèque de 2279 tomates. Il m'explique plus ou moins que ce montant sera placé en fiducie. Va savoir ce que ça veut dire.

Quelques jours plus tard, il dépose notre plainte conjointe aux Normes du Travail. On est au mois de novembre.

Fin janvier, Me E. nous apprend que notre cause sera entendue le 24 avril. Dans une communication datant du 2 février, ce même pingouin nous indique qu'il va vérifier la possibilité qu'Alain et moi soyons représentés par des avocats des normes afin de diminuer notre facture. Il ne nous est jamais revenu là-dessus avant la semaine dernière, ni informé des démarches à entreprendre pour être représentés par d'autres procureurs.

"Il me semble que nous avons été clairs dès le départ. Nous comprenons votre situation, mais il a toujours été entendu que nous agirions uniquement comme procureurs conseil dans cette afaire ", nous a lancé en pleine gueule M. E, la semaine dernière.

Foutaise ! Démuni et sans connaissance du milieu judiciaire, je leur ai remis mon destin entre les mains. Aujourd'hui, je me retrouve une semaine avant mon audience sans avocat, sans argent. C'est également impossible de trouver un autre avocat avec un délais aussi court.

J'ai donc dû faire des pieds et des mains afin de faire repousser l'audience. Ce n'est pas de gaîté de cœur, moi qui croyais enfin voir la lumière au bout du tunnel. J'y suis finalement parvenu.

J'aurai finalement payé 2279 $ pour faire déposer une plainte que j'aurais moi-même pu déposer. Belle affaire ! Vraiment, ce congédiement et toutes les dédales qui en résultent me puent au nez. Je ne souhaite à personne de vivre pareille histoire.

La suite... quand il y en aura une !

mercredi 18 avril 2007

Opportunisme, registre et détresse

Ça va faire le délire...

Va falloir que quelqu'un dise à nos politiciens, qui se font du capital politique à chaque fois qu'un malade tire à tout vent dans un campus, que ce n'est pas en contrôlant d'avantage les armes à feu ou en mettant plus d'argent dans le désormais tristement célèbre registre canadien que nous allons éviter ce genre de tragédie.

Charest, Harper et cie étaient où hier et avant-hier quand on a appris que le fou de Virginia Tech s'était procuré ses armes de façon tout à fait légale ? Veulent-ils faire ajouter une rubrique "avez-vous l'intention de commettre une tuerie avec votre arme" dans le questionnaire permettant l'aquisition de tous les guns ??? Vraiment n'importe quoi.

Ça me pue vraiment au nez de voir les politiciens transmettre leurs sympathies aux familles éprouvées tout en promettant de resserer le contrôle des armes à feu. En plus d'être calissssssssement opportuniste, ça se résume à peleter des nuages.

Pensez-vous vraiment que quelqu'un qui a l'intention de tuer tout ses camarades de classe va aller s'enregistrer avant ? Le gars de Virginia Tech l'a peut-être fait, mais il était clairement malade. Il est d'ailleurs là le problème.

Faudrait peut-être s'attarder sur les raisons qui poussent un universitaire à se lever un beau matin, à prendre sa carabine, à écrire quelques lettres d'explications et à aller tuer 33 personnes, dont une Québécoise (on s'en fout qu'elle soit Québécoise en réalité, mais ça fait tellement du bon stock pour nos médias, qui recherchent la famille et de bons témoignages qui feront pleurer les chaumières...).

Personne ne s'est dit qu'on devrait peut-être injecter plus d'argent dans le support des personnes en détresse, dans la détection de ces personnes, que dans un putain de registre des armes à feu. De toute façon, des armes illégales, il y en a toujours eu et il en aura toujours.

Peut-être que si les professeurs du malade de Virginia Tech avaient eu une formation sur la détresse psychologique, ils auraient pu intervenir avant que celui-ci commette l'irréparable.

Avec des SI, on mettrait Paris en bouteille, va savoir...

mardi 17 avril 2007

Je ne suis pas mort !!!

N'en déplaise à certains, je ne suis pas mort !

En rush de job, je ne peux malheureusement pas beaucoup écrire ces jours-ci, mais je vous promet que je vous reviens avec mes péripéties possiblement mercredi ou jeudi.
J'en ai d'ailleurs une bonne à vous raconter : je me suis fais larguer par les avocats qui devaient me représenter devant la Commission des Normes du Travail. Ils avaient eux-même sollicité le mandat putain.

Bref, je vous raconte ce merdier dans pas long. Et merci de continuer à visiter mon blogue même si je n'écris pas souvent ces temps-ci !

A+

samedi 7 avril 2007

Recyclable ou non ?

Entre deux plein d'essence, vous savez quoi..., je travaille ! Oui oui oui !

Bon, le texte d'aujourd'hui est complètement relié à mon travail. Je ne m'en cache pas, je fais de la propagande environnementaliste. Vous avez été avertis.

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J'en apprends tous les jours depuis que j'ai ma nouvelle job, moi qui pensais pourtant tout connaître en matière de récupération. Je me fais d'ailleurs un point d'honneur de récupérer jusqu'au petit pot de compote de pomme et de sermoner tout ceux qui osent balancer leurs bouteilles aux poubelles.

Mais voilà que j'apprends-ti pas que ce ne sont pas tous les types de plastique qui se recyclent, du moins, au Québec. Saviez-vous que sur tous les contenants, pots et récipients de plastique se trouve un logo nous informant sur le type de résine utilisé dans leur fabrication ? Et bien, pas moi !

Or donc, il existe sept catégories de plastique (1 à 7), mais seulement cinq d'entre elles se récupèrent, soit les numéro 1,2,4,5 et 7. Il va sans dire que je suis tombé en bas de ma chaise quand j'ai appris que les contenants de champignons (no6), les petits yogourts individuels, la plupart des plateaux de service et des plats congelés (no3) doivent être jetés à la dompe. Difficile à croire.

Pourquoi, me direz vous ? Simplement parce que nous ne possedons pas les installations necessaires. Pour le no6, qui se trouve à être le polystyrène, les Ontariens nous ont shifté. Ils le récupèrent depuis une dizaine d'années. Évidemment, il ne serait pas environnementalement gagnant d'envoyer notre no6 en Ontario en raison du transport que cela necessiterait.

D'un autre côté, il y a de plus en plus de débouchés par les plastiques recyclables. Par exemple, il ne suffit que d'une vingtaine de deux litres de liqueur pour fabriquer un chandail en polar. Avec 450 contenant de TIDE, on peut fabriquer un banc de parc à trois places ! C'est fou pareil...

Bon, c'est assez. On se rejase.