samedi 7 avril 2007

Recyclable ou non ?

Entre deux plein d'essence, vous savez quoi..., je travaille ! Oui oui oui !

Bon, le texte d'aujourd'hui est complètement relié à mon travail. Je ne m'en cache pas, je fais de la propagande environnementaliste. Vous avez été avertis.

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J'en apprends tous les jours depuis que j'ai ma nouvelle job, moi qui pensais pourtant tout connaître en matière de récupération. Je me fais d'ailleurs un point d'honneur de récupérer jusqu'au petit pot de compote de pomme et de sermoner tout ceux qui osent balancer leurs bouteilles aux poubelles.

Mais voilà que j'apprends-ti pas que ce ne sont pas tous les types de plastique qui se recyclent, du moins, au Québec. Saviez-vous que sur tous les contenants, pots et récipients de plastique se trouve un logo nous informant sur le type de résine utilisé dans leur fabrication ? Et bien, pas moi !

Or donc, il existe sept catégories de plastique (1 à 7), mais seulement cinq d'entre elles se récupèrent, soit les numéro 1,2,4,5 et 7. Il va sans dire que je suis tombé en bas de ma chaise quand j'ai appris que les contenants de champignons (no6), les petits yogourts individuels, la plupart des plateaux de service et des plats congelés (no3) doivent être jetés à la dompe. Difficile à croire.

Pourquoi, me direz vous ? Simplement parce que nous ne possedons pas les installations necessaires. Pour le no6, qui se trouve à être le polystyrène, les Ontariens nous ont shifté. Ils le récupèrent depuis une dizaine d'années. Évidemment, il ne serait pas environnementalement gagnant d'envoyer notre no6 en Ontario en raison du transport que cela necessiterait.

D'un autre côté, il y a de plus en plus de débouchés par les plastiques recyclables. Par exemple, il ne suffit que d'une vingtaine de deux litres de liqueur pour fabriquer un chandail en polar. Avec 450 contenant de TIDE, on peut fabriquer un banc de parc à trois places ! C'est fou pareil...

Bon, c'est assez. On se rejase.

1 commentaire:

Yano a dit...

Très instructif. Faudrait que tu nous fasses d'autres textes à ce sujet.

Si je me compare au passé, à mon enfance, on en a quand même fait du chemin coté recyclage. Dans le temps un bac bleu, c'était un carré de sable en pieuvre.

J'imagine qu'il y a encore beaucoup à faire, à avancer. Il n'y a rien comme connaître quelque chose pour y contribuer.