Ça y est. I'm finally back. Mon entrevue s'est bien déroulée la semaine dernière. En tout cas assez pour que et je dégote un job de journaliste à La Tribune, dans mon patelin.
Ça devrait être une bonne nouvelle. C'en est une. Je trippe. Mais d'un autre côté, je ne peux pas m'empêcher de filer cheap. Pourquoi ? Parce que je dois quitter mon emploi actuel. Emploi qui ne me fait pas vraiment vibrer, comme vous le savez, mais quand même.
Quitter un emploi où l'on est apprécié n'est pas une mince affaire, surtout quand on a vécu l'autre extrême, soit celui de se faire crisser dehors sans avertissement.
Ce matin, je me sens très mal vis à vis ma boss, celle qui m'a fait confiance, celle qui a cru en mes moyens quand personne ne semblait vouloir me donner une chance. Trois mois seulement après qu'elle m'aie embauché, je la crisse là. C'est poche non ? Maudit Yashin !
Le pire, c'est que je ne peux pas lui dire tout de suite. De un pour rester en poste jusqu'au 24 juin (je débute le 25 à La Tribune) et de deux parce qu'elle est en vacances cette semaine. Je me verrais en effet très mal l'appeller chez elle pour lui annoncer mon départ. J'imagine facilement la scène :
"Salut Colette. C'est Pascal. Je ne veux pas te déranger, mais je voulais juste de dire que je démissionne. Bonne semaine !"
Franchement à chier. C'est pourquoi j'attends à la semaine prochaine. Une semaine à me ronger les sangs.
Quelqu'un a une idée pour me faciliter la tâche lors de son retour ? SVP SVP !!!
lundi 4 juin 2007
Filer cheap
à 10 h 39 Publié par Pascal
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1 commentaire:
Je ne sais pas si vous faites ça dans l'entreprise, mais tu pourrais l'amener diner lundi. Lui expliquer que tu veux être journaliste, que la job que tu as eu est plus près de chez toi...
Non, il ne faut pas l'appeler, il me semble que ça ne fait pas très professionnel.
Finalement, beurre épais!
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